POUVOIR(S) & CAPACITÉ(S) :Prodige de la Force : enfant littéral de la Force, le potentiel de l'élu est exponentiel et a toujours été 'avancé pour son âge'. Il possède les attributs basiques de la Force tels que: Télékinésie, Télépathie, Sauts améliorés, Perception surnaturelle et une mesure de Précognition. Son lien avec la Force est pour l'instant égalé que par les plus grands maitres avec des décennies d'expériences à leur actif. Les paris sont toutefois ouvert pour savoir qui triompherait une fois les émotions d'Anakin mit dans la balance.
Maitre combattant au sabre-laser : priorisant le combat au sabre plutôt que la Force, l'exutoire physique encouragea rapidement le padawan à être réceptif à cette partie de ces études. Sa forme principale est la V, agressive dans les frappes et les contre-attaques. Il est capable de dévier facilement les tirs de blaster ainsi que ceux des cargos. Privilégiant le combat à un seul sabre, il peut tout autant se servant d'une deuxième arme lorsque nécessaire.
Pilote exceptionnel : La Force lui confère les réflexes et la précognition nécessaire pour éviter les tirs ennemis, anticiper leurs mouvements et éviter les obstacles. Ses hauts faits inclus être le seul humain à avoir non seulement piloter, mais gagner une course de podrace - sauvé Naboo avec son pilotage – être capable de faire atterrir des vaisseaux quand ceux-ci sont déjà à moitié effondrés.
Haute intelligence : Il suffit de dire qu'il est l'inventeur de C-3P0, un droid protocolaire maitrisant plus de six millions de formes de communication et du podracer lui ayant permit la victoire à 9 ans dans le tas de poussière qu'est Tatooine. Ses capacités en ingénierie n’ont pas autant été exploité pendant sa décennie en tant que padawan, mais il put réparer de nombreuses technologies pour ne pas perdre la main.
HISTOIRE :Anakin était né pour servir.
Que cela soit un maitre, un Ordre, une tragédie ou une prophétie... Dans une version alternative, tous les désirs du garçon étaient interdits : la liberté, l’amour, le podracing, sauver ses êtres chers… On lui reprochait d’être trop sensible et, ensuite, d'être cruel. Une vie de règles et de punitions, sans respect et avec de plus en plus de pression. C’était une leçon sur "comment prendre un enfant doux et aimant pour acquis, le transformant en homme dur et amer par ses multiples traumatismes laissés sans soin".
Pourtant, si les origines furent identiques durant les neuf premières années de cette existence, l’événement d’une autre vie survivante au mal offrait désormais l’espoir d’une histoire miséricordieuse envers cet enfant de la Force.
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Qui-Gon n’était pas d’accord avec une des décisions du conseil. Encore. Pour avoir tort aussi souvent, c’était à se demander pourquoi les gens du conseil étaient au conseil. On lui avait confirmé qu’ils obtenaient leur poste pour leur sagesse et pas par privilège de richesse ou de naissance. Pourtant, ils étaient plutôt stupides aux yeux d’Anakin et ce n’était pas parce qu’il était trop petit pour comprendre parce que Qui-Gon le pensait aussi. Il savait lire entre les lignes et même s’il n’avait pas dit qu’ils étaient des idiots, c’était facile à savoir. Le jeune Skywalker savait lire beaucoup de langues, il pouvait déchiffrer ce que son maitre pensait quasiment tout le temps. Pas tout à fait…il était souvent confus par ses leçons. C’était peut-être parce qu’il n’était jamais allé à l’école qu’il ne comprenait pas le fonctionnement de ses classes. Le garçon ne les aimait certainement pas, surtout celle du conseil. Ils ne l’aimaient certainement pas non plus. Ni les autres en générales. Qui-Gon était le seul avec qui il voulait véritablement passer du temps, ce qui l’étonnait car ils aimaient les gens et apprendre. Il détestait juste ceux qui ne voulaient rien avoir à faire avec lui, ce qui était tout le monde. L’ancien esclave n’aurait jamais cru que Tatooine lui manquerait et ca serait totalement le cas si celle-ci n’avait pas sa mère et ses amis. C’était froid ici. C’est bon d’avoir froid. Il avait le droit d’avoir froid. À la place de manquer sa mère, il pouvait manquer avoir plus de chaleur. Toutefois, dans la sécurité de sa propre tête il pouvait clairement savoir qu’il avait peur pour elle. Parce que la tête de sa mère n’était pas en sécurité.
Cette puce était le fléau de tous les esclaves de Tatooine et il n’en avait pas été exempté. Même hors de la planète avec la promesse de liberté, il y avait toujours cette menace qui ne se contentait pas de planer sur lui, mais était constamment agrippé à sa personne. Malgré la croyance en la bonté des jedis, une partie malsaine de son esprit c’était tout de même demandé si son nouveau maitre-mentor allait garder cette sauvegarde comme le faisait tous les maitres-propriétaires. L’angoisse n’avait pas été si longue ni même terrible, puisque c’était une normalité passé sous silence, Obiwan lui tenant compagnie pendant les soins de Qui-Gon alors qu’ils étaient tous les deux incertains quant à l’avenir. Ce qui n’avait pas été silencieux fut lorsque l’homme fit ce qui était décrit par les témoins exagérant quelque peu "Qui-Gon sortant encore 59% mort hors de la baie médicale avec les médecins au cul pour prendre le petit blond à la coupe en bol en poche de patate et d’en faire aussi le problème des soignants ". S’il n’avait pas été aussi confus et stupéfait, le gamin aurait certainement pleuré lorsqu’on lui avait expliqué la procédure pour lui enlever sa bombe et comprit qu’il allait véritablement faire confiance à son nouvel héro. Ses émotions fortes piétinaient la culpabilité d’avoir douté des Jedis. Il se monterait digne de cette bienveillance…même si les cours et les autres enfants lui ferait presque regretter le sable. Ce n’était pas grave car il est Anakin Skywalker, une personne, libre en plus et que son maitre était pas toujours d’accord avec ses supérieurs et il avait le droit de le dire. Pas trop non plus. Pas lui. Il était trop nouveau et ne comprenait pas assez comment se passait les choses ici, mais bientôt. Qui-Gon lui avait promit et il lui faisait confiance. Ils allaient accomplir de grandes choses!
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La fureur était le carburant lui permettant de parcourir la distance sans laisser un quelconque doute faire obstacle. C’était si facile de quitter cet endroit quand il n’y avait aucun bagage à manquer puisqu’il n’avait droit à aucune possession. Si pratique de n’avoir aucun attachement assez fort pour lui dire de rester puisque c’était tout autant interdit que la vie arrêtant de chier sur son existence comme s’il était une plante ayant besoin de plus de compost. Il n’y avait qu’Anakin Skywalker avec des vêtements sur le dos et un sabre éteint à la main prouvant qu’il avait encore un peu de contrôle sur ses émotions malgré ce que l’entièreté de l’Ordre prétendait. Trop sensible. Trop frimeur. Trop différent. Trop esclave. Toutes les raisons lui disant, ironiquement, pas suffisant pour rien accomplir de bien à leurs yeux. On ne laissait pas les gens que l’on chérissait se résigner à la haine des autres. On ne prenait pas soin de quelqu’un en le sermonnant de s’être défendu. On ne le croyait pas déraisonnable d’avoir eu le besoin de se défendre. On ne l’accusait certainement pas d’être l’investigateur du mépris juste parce que son existence importunait les autres.
La poigne sur son sabre se fit plus forte, le matériel ne cédant pas sous la pression au contraire de la chair qui en ressentait une tension douloureuse ignoré par le porteur de l’arme. Les enjambés étaient grandes, rapides, un rythme soutenu pouvant durée des heures. L’aura d’un prédateur avec l’endurance d’une proie traquée. Il pourrait durée, mais un vaisseau serait tout de même plus rapide. Rester sur cette planète était trop près. Mais sa mère s’y trouvait. Il avait envie de son réconfort même si c’était puéril. Ce serait mesquin d’accepter son étreinte et confirmer son attachement. Pourtant il ne voulait pas qu’elle le voit ainsi. Il ne pourrait pas supporter si elle pensait aussi qu’il avait échoué. Sa mère croyait aux Jedis. Comment ne pourrait-elle pas quand Qui-Gon avait respecté sa promesse de la libérée. Non. Il ne devait pas penser à son maitre. Son mentor le ferait trop hésiter. Il remboursait l’homme en ayant gardé la violence à l’intérieur de lui –hormis un peu de force push pour éloigner les autres- au lieu d’abattre sa rage sur les autres padawans. Cela lui faisait peur à quel point il avait été prêt à se battre, que ce soit avec son sabre, à main nus ou en mordant quiconque s’approcherait juste pour pouvoir partager de sa douleur avec les coupables. Pourtant il avait réussi à fuir plutôt qu’à se battre et il se détestait pour ca. Il détestait à peu près tout en ce moment. Le resserrement dans sa gorge, le brulement de ses muscles, le picotement dans ses yeux et la chaleur dans son sang. La Force autour de lui pulsait des signaux de danger. Le garçon faisait tout pour courir plus vite que ses regrets et ses échecs. Ils n’auront qu’à s’élire un autre sauveur si celui-ci ne leur convenait pas. Une seule personne y croyait vraiment de toute façon.
Ses pas ralentirent puis stoppèrent, son souffle remplaçant le bruit de sa course. Il était vraiment seul. Pour la première fois depuis son évasion, l’humain pris le temps de regarder autour de lui sans que cela soit pour éviter les obstacles. Les grandes bâtisses, les lumières, les gens, si différents d’avant, pourtant encore familier, même si l’endroit exact lui était inconnu. Cela avait été stupide de fuir. Est-ce que quelqu’un le rechercherait vraiment? Certainement un peu, mais ils abandonneraient rapidement en se rappelant qu’il était un inconvénient. Il y aurait une foule pour rappeler chacune de ses lacunes. Le jeune Skywalker reprit dans la direction opposé au temple, marchant sans influence de la Force et siffla un instant lorsque ce moment un peu plus calme l’obligea à enregistrer la grippe de sa main sur son sabre. Peut-être que la grande joie qu’aurait le conseil à se débarrasser de lui prévaudrait le fait de le laisser en liberté avec l’arme de leur Ordre. Ca allait, la haine était mutuelle. Ce n’est pas comme si la pensée lui provoquait une douleur comparable à sa main. C’était juste dommage que Qui-Gon ait perdu autant de temps à se tromper sur lui, mais c’était un grand maitre Jedi, il allait pouvoir envoyer sa déception dans la Force et passer à autre chose. Vraiment dommage, mais Anakin n’allait pas regretter les événements l’ayant libérer. Même dans sa colère, ses dernières années étaient mieux que Tatooine qui n’avait déjà été que peu indulgente envers son jeune âge. Cette éventualité lui conféra un élan de nausée. Il n’y trouverait jamais la paix contrairement à…
Padmé. Sa présence physique était si loin, mais son existence n’avait jamais quitté son coté. Cette jeune femme au pouvoir se battant pour son peuple. Elle ne se gardait aucune gloire. Elle n’avait pas méprisé le petit esclave qui ne lui servait à rien alors qu’elle était la personne la plus importante de sa propre planète. Comment pourrait-elle être autre chose que joli? La reine ne l’avait pas ignoré de retour chez elle et les années qui ont suivirent. Elle n’était pas obliger par le sang, par la prophétie ou par l’Ordre. Il semblait que pour elle, Anakin suffisait. C’était apaisant. Naboo était une si belle planète. Naboo fleurissait comme si Padmé était un soleil l’effleurant pour y ajouté sa chaleur avec soin contrairement aux Hutts ayant brulé Tatooine sous sa poigne réduisant en cendre tout espoir. C’était la personne parfaite vers qui être guidé. Il ne lui faudrait qu’une navette hors planète et de la subtilité pour se rendre vers un lieu qui, l’espérait-il, l’accepterait à tout moment.
Évidement, le jeune de quatorze ans n’en informa absolument personne. La rationalité avait déjà peiné à lui rappeler l’affection d’un nom sans y accrocher des doutes et de la culpabilité. Il n’avait pas imaginé la panique provoquer par sa disparition lorsque son maitre revint au Temple pour y être accueillit par l’espace vide de son padawan. Il part 5 minutes et les autres sont pas foutus de prendre soin de l’élu. Heureusement pour les intimidateurs fautifs, les gens ne blâmant pas Anakin pour tous les maux existant prioriseraient le trouver plutôt que les punir, ce qui leur sauva des châtiments impulsifs. Même à son inévitable retour, la padawan resterait dans l’ignorance des véritables conséquences et il serait plutôt soulagé de ne pas avoir un sermon de trois semaines pour accorder de l’importance aux autres. Le jeune Skywalker traversait donc l’espace en toute inconscience, le désir de la compagnie de Padmé servant de bouclier pour l’angoisse de tout le reste. Quelle idée géniale cela fut pour lui car la reine ne le déçut en aucun cas.
Sa fugue Son séjour sur Naboo était un baume sur son cœur meurtri et surtout un calme pour la tempête de son esprit. Enfin un endroit loin de toute obligation et de rang social. L’invité de Padmé. Quelqu’un dont elle voulait la présence. Il ne pouvait pas tout lui dire. ‘’C’était trop’’ avait suffit. Et il pouvait revenir à tout moment, toujours le bienvenue. "Ton silence est tiens et je le respecterais. Quand tu seras prêt, je serai présente pour toi, toujours." Y-avaient-ils des mots plus parfait pour lesquels tombés amoureux?
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Il n’y avait aucune urgence guidant les mains du nouveau chevalier. Les pièces étant déplacées, jetées au loin ou soudées à leur nouvelle structure sans alarme chronométrant l’efficacité de son talent. C’était par désir que l’homme apportait des modifications personnels au droid de combat qui aurait été son ennemi dans un futur alternatif pas si lointain. Maintenant Artoo devait partager son attention avec de multiples autres possibilités de mécanique. C’était pour le mieux. Il n’oserait pas expérimenter trop avec son ami et modèle désormais très unique. C’était plus facile de convaincre un droid de qualité médiocre fraichement sortir de l’usine qui n’aurait pas encore la personnalité de l’engueuler. L’astromech devait surement biper quelque part à l’extérieur en attendant Obi-Wan qui devrait les rejoindre dans….l’heure n’était pas si pertinent. Combien de temps avait déjà passé? Sans importance. Il y avait encore la lumière du jour. Un instant d’arrêt pour lever la tête et confirmation que c’était encore bel et bien le soleil qui l’éclairait majoritairement. Peut-être pourrait-il prendre une petite pause en attendant. Un étirement suivi cette décision, les bras au dessus de la tête et le dos se cambrant dans l’action. Il travaillait définitivement depuis trop longtemps dans la même position. Le Jedi se releva, dégourdissant un peu ses jambes, le pantalon salit depuis longtemps par le manque de chaise utilisé. Le prototype deux avançait bien. Le jeune Skywalker aurait préféré le terminer à temps pour en faire la démonstration, mais le modèle un devrait suffire. Ce n’était qu’au final sa version d’un droid Rogers avec un jet pack. En espérant que cette fonction soit plus utilisée pour les sauvetages que pour la guerre.
Une guerre s’imposant comme une tempête de sable. L’on sentait venir sa férocité, mais certains niaient encore son inévitabilité. Personne ne voulait subir un tel événement. C’était si rageant. La République allait faire mourir des millions de personne pour garder son monopole sous le couvert de l’ordre. Ils avaient assassiné Dooku et étaient en marche pour détruire le reste de sa lignée. Anakin ne doutait pas que le conseil n’allait jamais se remettre en question et étudier la cause de leur départ, se contentant de qualifier leurs vies ‘des branches pourries de cet arbre tombé’. Il savait que cette situation était plus difficile pour son frère et sa figure paternel, ceux-ci ayant vécu dans le Temple plus longtemps et n’ayant pas été ostracisé durant tout leur parcours. Le plus jeune n’avait aucun regret de quitter un endroit qui le réprimanderait pour ne pas ajouter ‘d’arme’ quant il qualifierait Obi-Wan de frère à son cœur. Cette liberté était considérablement moins conditionnelle. Il y avait toutefois toujours le devoir et la destiné entravant ses choix. Temps pour se distraire à nouveau avec la mécanique.
Les mains restèrent vides, le regard pouvant parcourir plus de terrain par la porte ouverte, des plaines de sables témoignant de la mort d’une époque. Si près d’un autre désert. Une tombe où les gens étaient morts et oubliés avant que le sable ne les enterre. Une planète dont le temps avait effacé l’identité, un caillou parmi tant d’autres dont l’on ignorait les corps y habitant encore et autrefois. Un souffle fut pris. L’air était différent. La chaleur était différente. Juste la vision du sable qui n’arriverait plus jamais à l’érodé. Pourtant, un désir refaisait surface, une ambition de jeunesse qu’il avait perdue dans l’entrainement et la dictature du plus grand bien. Cette émotion créa un des rares moments qui rendit Anakin Skywalker immobile dans un silence plus introspectif qu’annonciateur d’un chaos imminent. Des respirations, de l’électronique pulsant et l’écho d’une promesse. La possibilité prouvée dans une cicatrice à l’épaule. Ses pieds bougèrent le reste de son corps pour observer le matériel. Avait-il ce qu’il fallait pour fabriquer un scan? Il lui faudrait ensuite quelque chose de meilleur que ces droids de combat. Plus délicat dans leurs mouvements et discrets dans son intension. Porté par sa révélation, le petit atelier subit la frénésie d’un jeune homme ayant inventé C3P0 avec des pièces survivant à la misère et un acte de compassion.
Anakin voulait aider.
La reconnaissance qu’il avait oublié cette impulsion, perdu quelque part dans ses frustrations, peut-être brisé sous la pression, pleuré dans l’indifférence. Il y avait désormais de nombreuses personnes dans sa vie qu’il voulait aimer, rendre fier, protéger et garder. Il avait presque perdu Qui-Gon avant même d’avoir pu être autre chose que reconnaissant envers cet homme pour l’avoir trouvé. L’enfant avait été convaincu d’avoir dû sacrifié sa mère. Il avait parfois cru que la crainte ne le quitterait jamais, qu’il ne serait jamais à la hauteur des normes de l’Ordre. Ils avaient réussis à l’amadouer pour qu’il se croie idiot de vouloir plus. D’espérer plus. Ils l’avaient obligé à faire son deuil de leur stature de héros pour conserver sa santé mentale et son identité. Il ne voulait pas se battre pour gagner une guerre. Il était prêt à se battre pour sauver les gens. Sa femme, sa mère, son père et son frère. Pour les alliés à la cause de son cœur. Pour les peuples délaissés dont les terres étaient des territoires avant leurs maisons. Pour Anakin Skywalker. Parce qu’il méritait tellement et se contentait de si peu. Et cette fois, la Force serait avec lui.
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